Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le voisin n’est pas un animal nuisible assez proche de l’homme.
Sorry, ons artikel is nog niet vertaald
La tondeuse le dimanche matin, les parties de chat perché des enfants de l’appartement du dessus, le mélomane d’à côté ou encore les soirées 6j/7 jusqu’à 5h du matin de votre voisin bruyant mais ultra sociable sont autant de nuisances sonores à potentiellement supporter si vous ne vivez pas reclus à la campagne à 30 km de toute civilisation.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le voisin n’est pas un animal nuisible assez proche de l’homme.
Votre voisin bruyant n’a pas forcément conscience du bruit qu’il produit, la notion de gêne étant subjective et que la tolérance est plus aisée lorsqu’il s’agit de nos propres bruits plutôt que ceux des autres.
Donc avant d’appeler la police parce que votre voisin bruyant s’emballe devant le classico belge Anderlecht – Standard, mieux vaut l’informer courtoisement de la gêne occasionnée et trouver, par le dialogue, une solution satisfaisante pour chacun.
Pour qu’il puisse se rendre compte de la gêne subie, inviter gentiment son voisin peut s’avérer une bonne solution, ainsi que d’identifier, ensemble, les causes et les solutions techniques ou pratiques possibles.
Si le dialogue s’avère compliqué, il est possible de faire appel à un médiateur pour favoriser le dialogue et permettre de réelles solutions. Demander au syndic, au gérant, au gardien de l’immeuble ou encore à un comité de quartier d’intervenir de manière neutre peut aider à conduire le dialogue entre les voisins.
La médiation a pour but de concilier les différents parties et d’éviter d’aller jusqu’à une procédure judiciaire
Bien que l’on soit gêné de temps à autre par le bruit de nos voisins, il ne faut pas oublier que nous en produisons également. Il n’est pas toujours évident d’objectiver la mesure des bruits et la gêne peut être infligée malgré le respect des normes.
Les problèmes de bruit sont complexes et vont au-delà des lois et du fait qu’on les respecte ou non.
Vouloir s’isoler de ses voisins peut être compréhensible mais il ne faut pas rester sourd à nos propres bruits pour autant.
Le bruit de voisinage fait partie des bruits sur lesquels on peut agir facilement en obtenant instantanément des résultats qui permettront à chacun de coexister dans les meilleures conditions possibles. Quelques solutions de base existent.
A Bruxelles, et en Belgique de manière générale, bon nombre d’habitations anciennes ou de maisons uni-familiales ont été transformées en maison à appartements pour répondre à la demande. Ces aménagements n’ont pas forcément été réalisés en tenant compte de l’isolation acoustique entre les appartements nouvellement créés. Or, le bruit perçu entre voisins est souvent dû à une mauvaise ou inexistante isolation acoustique.
Dès lors, il peut être intéressant d’envisager d’effectuer certains travaux de rénovation ou, plus simplement, d’effectuer de petits aménagements au sein du logement pour réduire les bruits.
Ces travaux concerneront en priorité les éléments au travers desquels le bruit du voisinage se propage. Selon qu’il s’agisse d’un bruit aérien (télévision, musique, cris, etc.) ou de bruits d’impact (bruit de pas, enfants qui courent, etc.) on commencera respectivement par les parois et les murs intérieurs, puis par les planchers et les plafonds.
Si malgré toute la bonne volonté du monde, des démarches à l’amiable au réaménagement complet de l’habitation, le voisin reste sourd aux plaintes formulées il existe deux solutions.
Avant d’entamer toute procédure judiciaire dite classique, il est possible d’effectuer une demande de conciliation – gratuite – auprès du juge de paix de sa commune par simple envoi d’une lettre. Le juge de paix est apte et habitué à régler ce type de litiges par sa formation juridique et son expérience.
Si malgré cela la conciliation échoue, il est encore possible d’intenter un procès devant la justice de paix. Cette procédure est assez simple, rapide et peu coûteuse en comparaison de la procédure classique d’enquête pénale devant le Parquet.
Lors d’une intervention urgente, de type tapage nocturne, c’est auprès de la Police locale qu’il faut s’adresser. Elle dressera alors un procès-verbal après constatation de l’infraction, et le transmettra au Parquet qui pourra ouvrir une enquête pénale.
Il est cependant déconseillé de porter plainte auprès de la police, car cela déclencherait la procédure classique qui peut être longue, coûteuse et dont le résultat reste incertain.
galmprobleem?
Stukken die resoneren?
100% productie van gerecycleerd materiaal
Persoonlijk advies
Persoonlijk advies
Eenvoudige installatie